• Histoires flipantes !!!

    *messages de la fonda' pour TOUT les fous passant par là* 

    hum-hum... je vous invite, bien cher frère et bien cher soeur, à nous communiquer, au staff ou à moi, les histoires qui vont on fait peur ! nous les mettrons dans cette article en sitant les fous qui nous ont transmit leurs peurs ! 

    Maintenant je parle au staff !

    mes bien cher égaux (MUAHAHAHA! *o*) je vous invite à publier des articles avec les histoires que l'on vous fera passer et à trouver des images, un minimum en rapport avec l'histoire, ne publier pas des histoire trop longues ou que vous avez trouvé nul ! 

    De zombies sa conte ?

     OUAI maman castor raconte nous une histoire *fait les yeux de chiens battu* -QU .... c'est pas moi mere castor !!! c'est Mme. bayle x) (tu sais dequi je parle )

    LOOOOL

    *prend sa tronceunneuse adoré* je vais t'en coupé du bois et je vais pas m'en servir pour faire un nid mais pour en faire un curdant géant qui servira a te faire cuire !O.O

     AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA AU SECOUR !!!!!!!!!!! *cour de partout* A L'AIDE ON VEU ME CUIIIIIIIIRE

    te tuer serais le mot juste

     voilaa 1' hisoire ^^

  • AH ! , Bonjour à tous et à toutes, sa fait longremps (je m'en excuse ^^')  je vais ici écrire, le début d'une histoire assez étrange, qu'elle m'est apparue *D.  Et comme vous pouvez le voir le p'tit démon n'est pas ici, il deteste les histoires, donc il ne nous embetera pas *^* ! 

    Avis : Cet histoire n'a rien avoir avec les loups-garou de TWILIGHT que vous pensez xD

    --' , mais elle est triste et je me suis inspirer de certains jeu, et d'un manga (Amnesia) Dans cette hirtoire : suspence, (petit petit peu d'humour) et suréalisme (beaucoup) ! Mais je préviens, vue que le début est assez spécial, je dit tout de suite le perso principal est une jeune femme *enfaite si vous avez remarqué les 2 premiéres histoires les perso. principaux sont des garçons !*   tu es là ?    *non je part*    Ah ! OK !

     

    -Une cage ? Pourquoi ? Suis-je en prison ?

    -... Ou suis-je ... je  .. ma vue se trouble je ne me rappelle plus de rien, c'est flou ! Et .. ou sont mes alliés, mes amis ? On était tous dans l'église quand .. je .. -qu !! 

     

    Aujourd'hui il faisait telement mauvais, qu'on ne pouvais voir ci il faisait jour ou nuit ! A travers les épais barreaux de cette fameuse cage, on pouvais appercevoir un manoir  très grand et sombre, il pleuvait, le sol changer en boue, les trous sur le chemin changer en flaque. A la gauche de la cage, où la créature amnésique était enfermer, se trouvais des piloris qui retener des bêtes gigantesques, de forte apparence et  leurs yeux couleurs ambres,  qui brillait dans le noir, tellement persant qu'on les appercevait de loin était térrifiant, les grognement qu'ils produisaient étaient inquietant et infernale, puis .. 

     Des pas  se firent entendre, le bruit de botte qui s'enffoncaient dans la boue, une silouhete mystérieuse se dessiné petit à petit à travers le maneau de brume.

    A suivre !


    52 commentaires
  • Pourquoi ?
    Pourquoi je me suis retrouvé dans cette position là ?
    Pourquoi j'les ai pas ignoré ? Pourquoi j'ai continuer à les écouter ? Et...Pourquoi ces questions ?
    Tout simplement parce que la, là, je suis vraiment, mais alors vraiment en plein dedans.
    Quoique je fasse, je mourirai. Deux choix : une mort physique ou une mort intérieure ?

    Si je tire, je tombe. Je suis en haut d'un immeuble de 12 étages, et les salauds que j'ai cherché, pour me venger, tout à l'heure, sont devant moi.
    J'ai une espèce de gros bazouka chargé au-dessus de mon épaule, et ça m'éclate les cervicales et l'omoplates, mais j'dois pas montrer signes de faiblesse.
    Comment je suis grimpée tout en haut avec ça ? Me demander rien car je n'en sais rien. Dans ma folie j'ai fait ce qu'il me semblait juste.
    Parce que ces salauds, devant moi, m'ont martyrisés depuis tout petit. Mes parents n'ont jamais cru bon de déménager, même en voyant mes bleus ou mes larmes.
    Quoiqu'il advienne, on me déteste toujours. Je suis pourtant pas mal beau gosse. Je comprends rien.
    Les gens devant moi, ils se moquent, me détruisent. Ca fait 16 ans que j'n'ai pas eu d'amis à cause des gens qui ne m'aime pas et lance des rumeurs sur moi. 16 ans de solitude !
    Alors logique qu'un moment je craque...
    En fait, avant-hier soir après m'être mutilé profondément, me vue s'est obsurcit et de rage, une rage folle, je suis parvenu à voler une énorme arme qui se trouvait dans un tiroir de mon père (comment s'est-elle retrouvée là ? J'en sais rien. T'façon, j'suis adopté, j'suis même pas son fils). J'ai élaboré mon plan et...

    "Qu'est-ce que t'attends pour tirer ?! T'as pas l'cran, hein ?"

    Lance le leader de la bande. Mais je ne réponds rien, a part une pauvre larme.
    Après avoir élaborer mon plan j'ai...Oui, je me souviens, je n'ai pas porté cette arme jusque là, elle y était déjà avant. Dans mon désespoir, mes idées, mes pensées partaient un peu n'importe où !
    Donc après avoir posé l'arme sur le toit de cet haut immeuble, je suis allé me préparer intérieurement, ce qui, je m'en rends compte maintenant, ne faisait que me rendre plus fou de rage.
    Je les ai interpelé et ils m'ont suivit bêtement en haut de s't'immeuble. Alors j'ai pris l'arme, avec la force de Hulk, et l'ai placé sur mon épaule puis suis reculé en les traitant de...Tout les noms.
    Et là, je comprends que je suis dans une impasse : je suis à un mètre du bord. Si je tire, il y a de fortes chances...Ou plutot de forts risques que je doivent reculer de plusieur pas et que je perde l'équilibre pour tomber...De haut.
    Oui parce que c'est pas tout, jusque là je croyais voler. Je n'ai pas fait que me mutiler, je me suis injectée quelques doses d'une droue qui dure 2 jours environs. J'en sent encore l'effet mais...Je suis conscient, je me rends compte de ce que je fait.

    "Vas-y tire fille de pute ! t'as pas l'cran, hein ? Mauviette !"
    -Chut, tait-toi Loic, arrête de le chercher, il va tirer pour de vrai !
    -Meuh non, t'en fait pas pour ça, il a rien dans l'calçon s'gamin !"

    Ah ouai ? A trois, je tire. Je tirerai à trois.
    C'est entre deux sanglots que j'rrive à leur dire puis à donner le décompte :

    "1...
    -Non, fais pas ça mec, j'te juste on arrête !
    -Alors...C'est qui qu'à rien dans l'calçon là ? Si je tire, vous creuvez tous.
    -Fais pas ça...
    -2...
    -Arrête !! Putain arrête vieux fait pas ça, on sera sympa avec toi après !! On te le jure !"

    Je marque un temps d'hésitation puis lance à cette bande d'idiot un sourir sadique.
    Qui me rappelle que...Quoi que je fasse, sur les 5 devant moi, j'en turai ptêtre que trois. C'est pour ça que je reprends :

    "Si par hasard vous survivez, dites à maman que je l'aime. Dites à mon père que Dieu l'encule. Et dites à vos parents que vous êtes des sales rats qu'on besoin d'une nouvelle éducation !
    -Fais pas ça gros, tu vas le regret...
    - 3 !!!'

    Je l'ai coupé. Moi ? Le regretter ? Jamais. Je supprime des ordures, c'est tout. 3 d'antre eux plus moi ça fait 3 ordures et un pauvre déchet. Je sourit gentiment en regardant leurs airs terrifier. Comment leur dire...Que je suis obligé ?
    Je tire. Sous l'impacte, je suis projetéprès de la petite rembarde du toi, mais je perds l'équilibre et tombe.
    En tombant je pleure. Pauvre garçons, pourquoi ils m'ont fait ça ? Pourquoi...Ils ont été comme ça avec moi ? J'aurai du leur demander...Je n'ai plus qu'à attendre le...L'impact...

    --------------
    Il est mort sur le mot impact. Son esprit aide maintenant les personnes qui souffrent de discrimination. Il comprends juste maintenant pourquoi 'Dieu' ne l'as pas aider : il y a tellement à faire. Pour aider tout le monde il faudrait tout simplement raser la terre de vie humaine, et ça ce n'est pas impossible mais...Impossible quand même.
    Seulement 2 des 5 garçons sont morts. Maintenant ils sont en train de pourir dans leur chambre, gras comme des poules et peureux comme des souris.


    20 commentaires
  • Et bien, Bonjour à tous et à toutes, je vais ici écrire une des mes autres histoire. Je vous souhaite une bonne lecture ! Et la j'ai mit des lien de musique alors essayer de remarquais les mot en rouge sombre. Des le debut il y en a une.

    Avis : Cet histoire n'a rien d'horreur, mais elle est sentimental et je me suis inspirer de Pandora Hearts (qui est l'un, j'avoue, de mes manga preferer!) Dans cette hirtoire : suspence, amour et suréalisme ! Et .. de la description (c'est important dans une histoire)

     

    Aprés une longue marche, depuis mon accident, mon domestique me porta, alors que la nuit arrivé il s'arreta devant un manoir. Ma vue se troubler,car j'avais perdu beaucoup de sang, mais je pouvais encoire voir l'état de ce manoir sombre, il crocheta la serrure de l'etrée. Mon domestique m'emmena,ensuite dans l'une des chambre, et me soigna. Puis un peu plus tard,mon domestique quitta la chambre, aprés cela il commença à pleuvoir. La nuit fut fort désagréable, mais je finis par fermer les yeux. A mon reveil, je fus surpris de me reveiller sur un parterre de fleures au couleurs pastels, je me levai et regardai de gauche à droite. D'un coté un chemin de pavés allait jusqu'à un escalier qui devait surment étre la sortie, de l'autre coté,il y avait un banc.

        Je voulais sortir, mais on ame me disait d'aller au centre de cette piéce mystérieuse. Quand je fus arrivé prés du banc,l'angoisse envahit mon corps. J'était comme paralisé, mais j'était tous de meme curieux ; il est vrai que j'était jeune pour un conte, je n'ai que 16 ans, blond au yeux emeuraude. Je ne fait pas serieux en plus de mon regard quand j'essaye de l'étre . Il y a peu de temps j'ai perdu ma mére dans l'accendit qui a ravager notre manoir d'éte. Quand à mon pére ... lui ... je ne me souvien plus de son visage. Cela est mieux comme c'est !

    Je remarquai alors qu'il y avait un carnet sur le banc, par curiosité, je le pris et l'ouvris. A mon plus grand étonnement, le livre était remplis de poémes et de chansons d'amour. Quand je vis la derniere page, je traisaillis ! Il y avait une phrase tout à fait étrange et surprennante : <La mort, n'est pas la plus pire des tortures, celle que tous le monde subis et celle de l'amour. l'amour est un sentiment qu'on ne dois pas gacher! Il faut l'aprécier et le gardé, ne pas l'offrir à des personnes qui ne le mérite pas, Ne pas le perdre car sinon c'est LUI qui vous va vous tuez !>

     

    Elle était suivie d'un poéme, celui-ci refletait la mort et la tristesse. Le versot de la feuille et la couverture interieur étaient remplis de notes ou de calculs. Je lachai le carnet avec frayeur et reculai, le cahier tomba par terre, une lettre glissa du carnet après le choc. Encore secoué par ce poéme démoniaque, je la ramaissai ainsi que le livre. La lettre me parue bien lourden je l'ouvris avec délicatesse et je vis un cadre oval, la photo d'une femme, d'aprés les traits de son visage, elle était trés jeune, elle avait des cheuveux bruns et des yeux mauves qui mettaient en valeur son visage. Je fus troublé de ne voir aucune émotion, sur ce portrait, tous les tableaus que j'avais vus avant reflettaient une emotion quelconque, c'est vrai que je ne manque pas d'oeuvres d'art. Mais ce tableu était . neutre.

        Je remis le cadre dans son envellope et la pris avec moi, je fis pareil avec le carnet. Je voulais les étudier de plus prét. Je pris le chemin en sens inverse puis montai les escaliers. Quand je fus arrivé en haut des marches, la lueur du soleil m'éblouissai. Peu aprés, mes yeux s'habituérent à la lumiére du jour. Je constatai que j'avais attéris dans un jardin luxueux. Je m'assis, angoissé : <Comment se fait-il que je me retrouve ici, je ne me souviens point d'avoir marcher jusque là !>

    Une mélodie se fit entendre, je suivis le son de cette mélancolie. Je marchai jusqu'à ce que le sol s'écroula, je tombis ! Je me relevai tout en me frottant la tete, à ce moment là je rester figé de stuppeur ! <Une tombe, ici ? Qui pouvait bien reposer ici ?> Je ne l'apperçu pas encore mais quand je m'approchai de la tombe je vie qu'elle n'était pas entretenue, cela me déplaisait, mais mon regard fut attiré par une montre à gousset qui était sur la pierre tombale.

    Je le pris avec moi, c'est là qu'un ricanement se fit entendre. Une sueur froide s'empara de moi, je me retournai d'un coup! Je vis une fille, elle flottait dans les airs, et tournée en rond. Je ne pus sortir un mot qu'elle pointa une épée juste devant mon nez. D'un coup un cercle de flamme nous entourames !!

    Je restai sur place, la fille souriait. Elle leva l'épée, juste avant qu'elle ne m'atteigne une voix résonna : <Maitre ! Maitre!> Je me reveillai en sursaut, je regardai autour de moi, tout avait disparut, il n'y avait que mon domestique enface de moi. <Maitre, vous allez bien ? Vous etiez pale !> <ça va .. Ne t'inquiete pas> Je m'assis au bord du lit et me levai. je mis ma veste. Ce qui me parut étrange c'est qu'elle me pesait sur les épaules, je fouillais mes poches, et remarquai qu'il y avait un livret avec une lettre abimé, dans ma poche droite. Je me demandai alors si c'etait  un réve ou non ... j'ouvris la porte et commença a partir. <Vous, vous éte remis de vos blessures, J'en suis heureux! Mais ne faudrait-il pas partir ? > ; <C'est vrai qu'il serait plus prudent de partir, rassemble nos affaire je vais marcher un peu>

    Aussitot dit, aussitot fait, Ce manoir était immence mais je me donnai une vision horiible de lui. J'avais un présentiment mais je m'en moquai. Quelque chose d'horrible s'était produit ici, et je ne pouvais rester ici, assez longtemps pour connaitre l'histoire de cet endrois. Je fis quelque pas puis m'arretai. Je sortis le cadre, c'est là que mon teint devint livide. <Alors ... La fille qui ma attaqué .. > Maintenant j'en était sur, cette fille était bloqué ici ! Je retournai en courant dans la chambre, mais je fut interpelé par un ricannement, le meme que l'autre fois!

        Sans hésitai, je partit du sens ou les rires se faisait entendre ... mais plus je m'approchait plus cela ressembler à des pleures. J'attéris dans une grande piéce, peu étre une salle de bal. La fille était assise dans le coin de la salle jouant une mélodie triste. Elle me rappeler le poéme sombre du livre mais en un peu plus joyeux. La fille arréta de joué et vint vers moi en murmurant <Rose> Cela devais surment etre son prénom.

    Je la voyai, je lui tendis la main, elle recula et je vis une larme coulée sur sa joue. Moi je restai la main tendue vers elle. Au fond de moi j'avais peur, mais j'essayer .. de savoir. Elle pouvait me tuer a tous moment, vue que la derniere fois elle avait faillie le faire. Mais la seule chose qui mes sortit de la bouxhe est : <Veux-tu danser ?> Je sentis quelque chose me prendre la main et se blotir contre moi. <Oui, dansons ! > 

    Et on danssait. Combien de temps ? je 'en savais rien, elle etait si legere que j'avais peur de la brisé comme un mirroir si je la serrais plus fort. On s'arreta et la musique se termina, la fille brune s'éloigna et commençait a disparaitre comme des lucioles qui s'en aller. <Merci ! Merci mon petit prince ...> Apres qu'elle avait disparut, je m'écroulai par terre et puis plus rien ... Son visage reste graver dans ma tete, Je ne savais pas qui elle était et je pense que sa restera comme tel.

    Depuis, que je suis rentré chez moi, je passe la plupart de mes journées, enfermer dans mon burau, a chercher le nom du manoir, mais comme pour la fille je n'avais rien trouvais. Quand à elle je n'avais rien trouvé au sujet du mot ROSE sa devait etre le nom de sa fleure préferer! Quand au manoir quelque semaine aprés il fut détruis en meme temps que mes souvenirs de là-bas.

     

    Hakyumi

         


    22 commentaires
  • ... alors une histoire .... j'adore écrire :) heu par contre si c'est un peu long c'est que j'ai trop d'idée ! ^^' cette histoire est triste et brutal x) (écrite a ma facon)

     Avis : Le debut et un peu long, mais j'ai imaginé se que le paradis peu avoir avec la mort, donc c'est détailler. La fin est plus sanglate !

     

    J'aime cat étang, ces grandes villas qui ont l'apparence de chateaux en ruines avec leurs terrasses qui ressemblent à des cimetiéres ayant pour centre une petite fontaine ou un kiosque sombre entouré de roses, et ces pécheurs qui accomgnent le petit étang, cet endroit,où toutes formes de lumiéres ressemblent à l'enfer, je l'aime, on dirais le paradis que j'attender!

        Chaque matin, ce paysage change, le soleil se léve haut dans les cieux, et une nouvelle journée commence, puis-je révasse. Le paysage réaparrait, je reviens d'un voyage épuisant pour revoir ces forteresses aux jardins macabres. Je m'allonge sous un arbre, les oiseaux chantent, l'eau qui s'écoule aussi ; Je pense ... je pense à un tunnel, pour pouvoirm'échapper de ce décors insencé qui me hante ! Il apparait chaque fois que je ferme les yeux, mais j'aime ce paysage <Pourquoi suis-je incapable de le quitter ? Qu'est-ce qui me retient dans ce monde si bas ?>

        J'entends une mélodie, elle est douce, le vent me berse, est-ce pour cette raison que je suis prisonnier de ce monde mystérieux ?

    Le soleil se couche, tout se noicit autour de moi, je n'entend plus le chant des oiseaux, ils ne sont plus là, il ont fuyent cette obscuritée. Je préfère me lever et aller autre part que sous mon arbre, car ici c'est la nuit mais pour moi se sont les ténebres qui arrivent. 

        Je me balade dans ce village si paisible, si calme ; Une province ensevelie sous la lumiére de la lune qui remplace le soleil, et ces personnes qui sont figées telles des statues sans vie. Le paysage est le meme que dans ma tete ... la sensation d'avoir froid tout seul est insuportable, cela ressemble au néan. Un néan noir et triste comme se monde, un rayon de soleil apparait à travers les nuages, je marche seul jusqu'au parc, je vois une petite fille, brune aux yeux noisettes, assise sur une balançoire, on dirait qu'elle est perdue ... tout comme moi ; Je viens vers elle et m'assois à coté d'elle. On commence à discuter, jusqu'à quelle me dise <Je n'ai jamais voulus me retrouver ici, j'ai juste une haine  de l'été ! Voila !>

        Dit-elle en carressant un chat noir, stup éfait, je la regarde sans rien dire, elle se léve et commence à marcher en gardant le chat avec elle, elle me fait signe de la suivre. Sans réfléchir, je la suis, heureux d'avoir trouver quelqu'un comme moi, je souris comme un béta, mais je souris. On marche jusqu'à la route. Mais, à ce moment là, le chat qu'elle tenait dans ses bras, s'enfuit et il traverse la route au moment ou le feu passe au rouge ! 

    Soudain, elle s'élançat pour le récupere, mais elle cria et un camion la heurta !!

    Son odeur, maintenant melée de son sang, m'étouffe. Je cours, je m'enfuis sans savoir comment et pourquoi ça c'est produit.

    Elle est morte ... morte !

    <Comment cela ce fait-il qu'un monde inanimé t'a oté la vie ??>

    Je m'enfuis, toujours et encore, les larmes coulent, je n'arrive meme pas à les retenirs, je m'arréte et m'agenoue, déssesperer, et déboussoler. Car cela ne servais à rien de fuir. Puis cette mélodie revien !

    Puis je ferme les yeux et sers mes poings. Un klaxon de voiture rententit et une lumiére m'aveugle et je m'efface ! 

    <Enfin ... enfin je peux quitter cet endrois, sans me soucier des autres!>

     

       Hakyumi

     

     


    29 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique